Cheval sortant de l'écurie

Cheval sortant de l'écurie

Géricault Théodore En savoir plus

• NomGéricault
• PrénomThéodore
• Date de naissance1791
• Lieu de naissanceRouen
• Date de décès1824
• Lieu de décèsParis
• Nationalité / CultureFrançaise
• FonctionPeintre
• Notice biographiqueGéricault entre tout d'abord dans l'atelier du peintre Carle Vernet puis dans celui de Pierre-Narcisse Guérin où il fera la connaissance d'Ary Sheffer et d'Eugène Delacroix, avant d'entrer à l'école de Beaux-Arts de Paris en 1811.
  En 1816 il fait un voyage en Italie où il rend visite à Ingres et où il découvre les peintres de la Renaissance, il admire tout particulièrement Michel-Ange.
  Il aborde dans sa peinture, scènes de la vie quotidienne, mais aussi politiques et des portraits. Le thème du cheval, sa passion, sera abordé tout au long de sa carrière. Il réalise notamment lors de son voyage en Angleterre de 1820 à 1821, le "Derby d'Epsom" conservé au Louvre.
  Il meurt des suites d'une chute de cheval le 26 janvier 1824.

Création

1824 avant

Né dans une famille bourgeoise royaliste, Géricault vit à Paris depuis 1796 ; il se forme dans l’atelier de Carle Vernet, où il se lie avec le fils de son maître, Horace Vernet, puis dans celui du peintre néoclassique Pierre-Narcisse Guérin. Il a deux passions, la peinture et le cheval. Il expose en 1812 un premier sujet équestre au Salon, mais échoue au Prix de Rome en 1816 ; il voyage en Italie, découvre Michel-Ange, Raphaël, et les artistes de la Renaissance. Revenu à Paris en 1819 il expose Le radeau de la Méduse. En 1820-1821 il monte une exposition itinérante en Angleterre avec son ami le peintre et lithographe Charlet. En Angleterre il monte à cheval et peint les courses comme Le derby d’Epsom. Revenu en France, il peint des études d’après les malades mentaux de l’hôpital de la Salpétrière. Il meurt à trente-trois ans des suites d’accidents d’équitation.
Initiateur du courant romantique, passionné de cheval, Géricault peint ici un cheval noir tenu par la bride par son lad ; Géricault a consacré une bonne part de sa production à la représentation de scènes équestres. Selon la tradition, ce serait une œuvre tardive de Géricault, que l’artiste aurait laissée inachevée. Le peintre Horace Vernet aurait complété la toile après la mort prématurée de Géricault, notamment en ajoutant la figure du lad à droite. Le tableau fut acquis par le futur roi Louis-Philippe, alors duc d’Orléans, à la vente après décès de Géricault en 1824, où figuraient de nombreuses autres études de chevaux. Vendu avec la collection privée du roi en 1851, le tableau fut racheté par son fils le duc d’Aumale. Attribué à Géricault mais non signé, le tableau est authentifié par la plupart des spécialistes de Géricault.

Toile

; Peinture à l'huile

Hauteur en cm : 36.2

; Largeur en cm : 45

; Hauteur avec cadre en cm : 57.5

; Largeur avec cadre en cm : 66.9

; Epaisseur avec cadre en cm : 7.5

Cartel

; au revers

; GERICAULT / (Jean Louis André Théodore), / 1791-1824. (Ec. française), / CHEVAL SORTANT DE L'ECURIE

Cartel

; au revers

; 441

Etiquette

; au revers

; Peintres Français Modernes / N°50

Etiquette

; au revers

; HUART / Eleve & Successeur de TROUILLON / RENTOILAGE & RESTAURATION DE TABLEAUX / NETTOYAGE DE GRAVURES / Bordures dorées Dorure de Meubles / Batiment / ASSE

Cheval

; Ecurie

; Palefrenier

Louis-Philippe (1850) ; Luigi Filippo (1851) ; Aumale duc d'

1886 Donation sous réserve d'usufruit Henri d'Orléans duc d'Aumale

propriété privée Personne morale ; Interdiction de prêt et de dépôt ; donation sous réserve d'usufruit ; Chantilly ; musée Condé

CAT. GRUYER n° 441

Alsaciens-Lorrains, Paris, 1874 En savoir plus

• Titre cléAlsaciens-Lorrains, Paris, 1874
• DescriptionAlsaciens-Lorrains, Paris, 1874

Peinture

PE 441